Stains – Renouvellement urbain du Clos Saint Lazare


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La réinsertion du Clos St Lazare dans l’espace urbain s’appuie sur un projet de désenclavement qui permet d’envisager le grand ensemble comme un nouveau foyer du développement communal en l’ouvrant sur les espaces métropolitains qui le bordent (futur parc des Tartres  à l’Ouest, RD 29 au sud, ancienne rue du bourg au Nord).


C’est le point de départ d’un processus de réordonnancement s’appuyant sur une refonte de la domanialité et visant une action simultanée d’embellissement des espaces publics, de restructuration des unités résidentielles existantes et de développement urbain.

Le nouvel espace public cherche à développer les qualités paysagère de l’espace stannois (la cité jardin, le bourg, les terres maraîchères) en rapport à l’utopie de la ville-jardin du grand ensemble.

Le Clos Saint Lazare entre la cité jardin et le site des Tartres


Il met en place un ensemble de voies-promenades, d’allées, de jardins publics et d’espaces récréatifs dominés par le végétal.

La création et la restructuration des équipements repositionnés dans la structure urbaine accompagnent cette composition du nouvel espace public.

Sa fabrication est simple et pérenne, privilégiant la qualité et la durabilité des matériaux (bordurations, pavages, mobilier en granit) et s’inscrivant dans la continuité des espaces existants de la ville et de l’agglomération.

Les valeurs d’un espace civil rendu continu avec le reste de la ville sont emboitées avec les qualités paysagères de l’espace ouvert initial qui, requalifié et embelli, redevient en retour une valeur positive du territoire avec lequel il communique.

La démolition-reconstruction de 500 logements et la densification sur les franges du quartier complète cette entreprise avec la mise en place d’un tissu urbain emboitant les morphologies de l’espace ouvert du grand ensemble avec celles des tissus parcellisés du bourg et de la cité Jardin. Il s’accompagne d’un travail d’intégration urbaine du bâti existant, en particuliers des tours qui sont réhabilitées et réinsérées dans un tissu urbain de bord de parc, offrant au quartier une situation et une façade métropolitaine  en vis à vis des Tartres.


Insertion territoriale
Insertion territoriale
Plan directeur
Plan directeur
La rue George Sand, un nouvel axe de centralité et de désenclavement du quartier, une grande voie-promenade intérieure sur laquelle s’adressent les équipements et les tours -– maitrise d’œuvre germe&JAM
La rue George Sand, un nouvel axe de centralité et de désenclavement du quartier, une grande voie-promenade intérieure sur laquelle s’adressent les équipements et les tours – Maîtrise d’œuvre germe&JAM
Le nouveau groupe scolaire Romain Rolland (architecte I.Biro) et la place de l’école ouverte sur l’ancienne rue du bourg
Le nouveau groupe scolaire Romain Rolland (architecte I.Biro) et la place de l’école ouverte sur l’ancienne rue du bourg
La place de l’école – maitrise d’œuvre germe&JAM
La place de l’école – maîtrise d’œuvre germe&JAM
L'esplanade Nord, « jardin des sports » ouvert sur le parc des Tartres - à gauche la Maison du temps libre (architecte G. Le Penhuel)
L’esplanade nord vue depuis les tartres – Tour réhabilitée et nouvelle construction (architecte G. Vaughan)
L’esplanade Nord, « jardin des sports » ouvert sur le parc des Tartres – à gauche la Maison du temps libre (architecte G. Le Penhuel)


Entre la rue G. Sand et le parc des Tartres, Les "tours à cour" - L'intégration urbaine des tours dans un tissu de bord de parc
Entre la rue G. Sand et le parc des Tartres, Les « tours à cour » – L’intégration urbaine des tours dans un tissu de bord de parc


Une allée vers les Tartres – Tour réhabilitée (architectes Léornard et Weismann)
Une allée vers les Tartres – Tour réhabilitée (architectes Léonard et Weissmann)



De nouveaux équipements
De nouveaux équipements