Sur les traces retrouvées de l’armature hydraulique et paysagère d’un ancien marais, le projet vise l’émergence d’un quartier mixte de haute densité en rive de Garonne. Il interroge l’imbrication des typologies résidentielles et d’activités dans un cadre ambitieux sur le plan environnemental.
Entre fragmentation et unité, 3 volumes complètent le front bâti d'un boulevard tout en préservant sa perméabilité visuelle avec le paysage. Un socle commun avec un grand préau central rassemble les fonctions communes. Loggias, balcons projetés, fenêtres d’angle prolongent l’habitat vers l’horizon.
Sur près de 330 hectares, le quartier universitaire de Moulon à Orsay et Gif-sur-Yvette s’inscrit dans le développement du Plateau de Saclay. Grille, armature paysagère et hydraulique structurent la ville universitaire tandis qu’un nouveau tissu résidentiel dialogue avec les palais universitaires.
À Épinay-sur-Seine, 42 logements sociaux réinterrogent le lien entre espace public, collectif privé et paysage lointain. Deux bâtiments : l’un blanc, en écho à la tour voisine, l’autre en brique rouge, rappelant les pavillons du quartier. Entre eux, une cour belvédère, reliant la rue au petit bois.
Le Projet Global Nantes Nord engage le renouvellement urbain de quatre quartiers d’habitat social (Bout des Pavés, Chênes des Anglais, Petite Sensive et La Boissière) qui composent aujourd’hui des archipels de densité figés aux confins nord de la ville de Nantes dans un vaste territoire en mutation.
Première pièce de l'opération des Ardoines, projet phare du Grand Paris, la ZAC Seine Gare propose un développement urbain métropolitain ambitieux entre la gare RER et le fleuve dans une conception qui conjugue densité et principes de résilience face à la crue.
Sur les 50 ha de la friche Clause, un nouveau quartier à dominante résidentielle de 2 400 logements déploie la ville-jardin autour d’un parc public de 10 ha. Il articule pôle gare, maillage paysager et typologies variées, reliant centre-ville, vallée et faubourgs.
La situation éminente d'Empalot permet de conjuguer renouvellement et développement urbain en actualisant les aspirations de l’urbanisme paysager des grands ensembles dans une forme urbaine renouvelée, intégrée à la métropole à partir de la valorisation de son patrimoine architectural et paysager.
Rouen et sa métropole poursuivent à travers le quartier Flaubert la conquête de la rive sud-Seine et ses anciennes emprises portuaires. Le projet « Belvédère » est une figure de proue étirée le long de la nouvelle darse reliant le centre actif du quartier au fleuve.
Implanté en bordure du parc de l’écoquartier de Clause Bois Badeau, ce projet dessine un ensemble architectural structuré autour d’une grande cour-jardin. Ce « cloitre » est délimité par une échelle basse de maisons superposées au-dessus de laquelle émergent deux plots en rapport au paysage.
JO de Paris, juin 2024 : au sein du « Club France » dans le parc de la Villette, 20 écoles d’architectures construisent 20 pavillons pour 20 fédérations sportives. germe&JAM prend part à l’aventure en concevant le Plan Guide d’ArchiFolies et en accompagnant pendant 18 mois cette expérience inédite.
Sur les traces retrouvées de l’armature hydraulique et paysagère d’un ancien marais, le projet vise l’émergence d’un quartier mixte de haute densité en rive de Garonne. Il interroge l’imbrication des typologies résidentielles et d’activités dans un cadre ambitieux sur le plan environnemental.
Entre fragmentation et unité, 3 volumes complètent le front bâti d'un boulevard tout en préservant sa perméabilité visuelle avec le paysage. Un socle commun avec un grand préau central rassemble les fonctions communes. Loggias, balcons projetés, fenêtres d’angle prolongent l’habitat vers l’horizon.
L’intelligence de l’installation géographique et le recours à la grille fondent le dessin d'une nouvelle forme de ville écologique et attractive dans un confins de l’urbanisation francilienne et dans une temporalité qu’il s’agit aujourd’hui de clore.
Situé au centre du quadrant Nord-Est, entre faubourg de ville et frange péri-urbaine, Halvêque-Beaujoire-Ranzay est un vaste territoire composite de 250ha à l’urbanisation par fragment typique de la ville périphérique et dont le recyclage dessine aujourd’hui un nouveau faubourg métropolitain.
Sur près de 330 hectares, le quartier universitaire de Moulon à Orsay et Gif-sur-Yvette s’inscrit dans le développement du Plateau de Saclay. Grille, armature paysagère et hydraulique structurent la ville universitaire tandis qu’un nouveau tissu résidentiel dialogue avec les palais universitaires.
À Épinay-sur-Seine, 42 logements sociaux réinterrogent le lien entre espace public, collectif privé et paysage lointain. Deux bâtiments : l’un blanc, en écho à la tour voisine, l’autre en brique rouge, rappelant les pavillons du quartier. Entre eux, une cour belvédère, reliant la rue au petit bois.
Le projet gare s’inscrit dans un projet de resserrement et de recentrement de l’agglomération. La situation de la gare aux confins du centre-ville permet d’engager un double projet : une relation améliorée avec le centre-ville et une meilleure relation avec le territoire périurbain.
Entre frontalité et intériorité, cet immeuble articule l'echelle monumentale d'un grand bâtiment en façade de la nouvelle place de la gare et l'echelle domestique d'un système à cours qui se ramifie jusqu'à l'intérieur des logements.
Une nouvelle écologie urbaine : pôle de rabattement territorial important, la gare de Miramas est le levier d’un projet de recentrement et de redynamisation d'un centre ville en déprise, élargi et reconnecté à son territoire en s’appuyant sur les héritages typologiques et paysagers de la commune.
Le Projet Global Nantes Nord engage le renouvellement urbain de quatre quartiers d’habitat social (Bout des Pavés, Chênes des Anglais, Petite Sensive et La Boissière) qui composent aujourd’hui des archipels de densité figés aux confins nord de la ville de Nantes dans un vaste territoire en mutation.
Première pièce de l'opération des Ardoines, projet phare du Grand Paris, la ZAC Seine Gare propose un développement urbain métropolitain ambitieux entre la gare RER et le fleuve dans une conception qui conjugue densité et principes de résilience face à la crue.
À Rennes, 43 logements s’élèvent sur la station J. Cartier, à la proue d’un vaste projet de renouvellement urbain. L’immeuble articule logements traversants, cour active, hybridation typologique, socle vitré, unité d’accès et dialogue entre faubourg et grande avenue.
Le projet Savine-Vallon des Tuves est un projet de désurbanisation et de renaturation du site de l’ancien grand ensemble enclavé qui en révèle l’exceptionnelle géographie et cherche à instaurer des rapports nouveaux entre ville et espace naturel tout en consolidant les aires urbaines existantes.
Sur les 50 ha de la friche Clause, un nouveau quartier à dominante résidentielle de 2 400 logements déploie la ville-jardin autour d’un parc public de 10 ha. Il articule pôle gare, maillage paysager et typologies variées, reliant centre-ville, vallée et faubourgs.
La situation éminente d'Empalot permet de conjuguer renouvellement et développement urbain en actualisant les aspirations de l’urbanisme paysager des grands ensembles dans une forme urbaine renouvelée, intégrée à la métropole à partir de la valorisation de son patrimoine architectural et paysager.
Étude pour une tour de 16 étages à Euroméditerranée, pensée comme un système architectural modulable et évolutif. Structure pérenne en béton et remplissages bas carbone. Logements adaptables par modules, intégrant lumière, climat et usages flexibles pour un habitat durable et ancré.
Inscrits dans l’armature des centres audoniens, les quartiers « modernes » du vieux Saint-Ouen et de Cordon bénéficient des dynamiques de transformations urbaines d'échelle métropolitaine. Le projet du vieux Saint Ouen est dans ces conditions un projet sur les retrouvailles de la ville et du fleuve.
Entre centre-bourg et tissu pavillonnaire, à proximité immédiate de la gare de RER, le projet se compose de deux "villas urbaines" indépendantes et assemble trois familles typologiques à l'intérieur du projet urbain de la ZAC Gambetta également conçue par germe&JAM.
Reconstruction d’un ensemble des années soixante par 125 logements sociaux, l’immeuble « Ganay » interroge l’habitabilité et les nouvelles morphologies résidentielles d’un boulevard marseillais dont il initie le processus de renouvellement et de densification autour de la figure d'une grande cour.
A Brétigny la reconversion de l’ancienne graineterie emboite différents programmes au sein d’un vaste « palais urbain » : logements combinant spatialité généreuse, liberté distributive et confort d’été, maisons des solidarités, supermarché éclairé naturellement et en vitrine sur la grand place.
L’urbanisation, dans le cadre de la ZAC du Prieuré, de la frange Est de la commune au delà du cimetière, inscrit celui ci en position de pivot entre le vieux bourg et le nouveau quartier. Son extension est l’occasion de créer une nouvelle entrée, en profitant d’une belle situation de promontoire
Ces 96 logements en reconstruction de l’ancienne barre Renoir ordonnent la composition urbaine d’un nouvel espace public de désenclavement des 4000 sud à la Courneuve à partir d’un ensemble à cours ouvertes transposant dans une typologie urbaine les qualités des espaces libres existants.
Premier fragment aménagé du grand projet urbain de Nantes nord, la restructuration urbaine et paysagère de ce quartier d’habitat social des années 70 est l’occasion d’avérer les potentiels de l’espace ouvert paysager moderne en lui conférant la situation et les valeurs urbaines qui lui font défaut.
La construction du métro rennais a permis la réunification de la ville, des grands ensembles du sud avec ceux du nord, en passant par la gare, le centre ville, le CHU, l’université. Le projet de « l’Axe sud » répète dans l’espace public le projet d’unité de la ville réalisé par le métro.
Cette étude vise à définir l’évolution du secteur des Gohards afin de répondre aux objectifs de production de logements de l’agglomération tout en s'inscrivant harmonieusement dans le contexte bocager du site et en interrogeant les modes de formation et les typologies d’un tissu urbain mixte.
Le projet des Rives de la Haute Deûle incarne la stratégie de « ville renouvelée » : reconversion d’une friche industrielle et revalorisation des faubourgs, recyclage des infrastructures industrielles et quartier mixte ouvert sur la Deûle, maillage structurant et mixité typologique.
Rabelais Rouault est la première étape de reconquête par l’espace public urbain de "l'axe sud" de Rennes, transformée en une longue avenue-promenade plantée conduisant par séquences au centre de la ville et la reliant à son territoire naturel.
La ZAC Clemenceau occupe une position de centralité unique au barycentre de la ville historique et de la périphérie, à la croisée de « l’Axe sud », espace de symétrie de la métropole et de la deuxième ceinture de boulevards.
Une ambition sociale et environnementale forte rencontrant un site majeur d’entrée de ville à l’extrémité du village-rue serpentant dans le coteau de l’Yvette. Etagées dans la pente, un jeu de cours inspirées du paysage existant installe la résidence à l'interface de ces deux échelles.
Extension et surélévation d’une ancienne bâtisse ouvrière peu profonde la nouvelle construction réalise, sur la base d’une structure légère de bois, l’extension et la surélévation, exploitant la belle orientation sud et recherchant un nouveau rapport généreusement ouvert au jardin.
L’étude urbaine des Grands Vœux vise à préciser les potentialités et les conditions pré-opérationnelles de développement d’un grand site de Seine à cheval sur Orly et Villeneuve Saint Georges, défini comme stratégique pour répondre aux objectifs de maillage territorial et de production de logements.
La ZAC des vignes est une opération stratégique pour la consolidation et de développement d’un centre bourg de la périphérie rennaise, alternative aux extensions pavillonnaires. Le programme de 100 logements et 500m² de commerces en fait l'une des opérations les plus denses de la périphérie.
La réinsertion du Clos St Lazare dans l’espace urbain s’appuie sur un projet de désenclavement qui permet d’envisager le grand ensemble comme un nouveau foyer du développement communal en l’ouvrant sur les espaces métropolitains qui le bordent.
Dans un contexte urbain mixte associant maisons individuelles et grande résidence des années soixante, cette première œuvre de P.Germe combine un long bâtiment principal R+4 qui révèle la topographie marquée des coteaux de Vitry et des maisons superposées R+2 en relation à l'échelle pavillonnaire.
